Remerciements

Ma profonde gratitude va à toutes les personnes qui ont éveillé, encouragé, soutenu, permis mon goût de la composition ou plutôt de « l'invention » musicale.


A commencer par les compositeurs eux-mêmes, ceux que j'ai entendus, écoutés, aimés, analysés, admirés, et le premier d'entre eux, Jean-Sébastien Bach.

A mes maîtres, à commencer par mes professeurs de piano que je ne citerai pas car j'ai oublié le nom du principal d'entre eux auquel je voudrais rendre hommage. J'ignore s'il est encore vivant (s'il l'est, il doit être très âgé...), mais il a profondément marqué ma vie d'apprenti musicien débutant. Il venait le mercredi après-midi, dans un collège rural du Lot où j'étais pensionnaire pour la « leçon de piano » : à l'ancienne, Hanon, gammes, morceaux classiques... Il avait l'apparence du pianiste classique du XIXe, très strict mais très aimable et courtois : la classe, quoi ! Le Hanon avec une pièce sur la main que je ne devais pas faire tomber, les doigts entièrement recourbés et pliés sous la main, des techniques d'un autre âge. Et bien, cet homme, cadurcien, a ensuite fait 50 km aller-retour par semaine pendant un an pour venir me donner des cours de piano dans la campagne isolée où nous nous trouvions... gratuitement (mes parents ne pouvant plus, à l'époque, me payer des cours particuliers de piano)........ Quel Amour de la musique ! Quel don de soi ! Quel sacerdoce !... Imagine-t-on l'effet que cela peut produire dans le cœur d'un enfant de 12 ans ?... Je ne connais pas son nom : c'est mon seul regret.

A tous les professeurs et toutes les équipes, administrative et technique, de l'I.F.M.I de Toulouse, alors sous la direction de Joseph Broussaudier, également notre professeur d'écriture, qui ont confirmé mon goût pour la composition musicale et m'en ont donné les premières armes (l'épreuve d'admission du concours d'entrée à l'IFMI était une composition à écrire e à faire réaliser par les autres candidats présents).

Je ne pourrais tous les citer, tant ils m'ont tous donné, tellement j'avais de vide et de place à remplir, mais je ne peux pas ne pas nommer ici Ricardo Mandolini, compositeur, qui nous a transmis des techniques et une culture « compositionnelles », tout nous offrant une large liberté d'action et de créativité, au travers de ses stages « d'invention musicale » dont sont sortis mes deux premiers opus, en musique de chambre.

A Alix Bourbon, à Jean-Marc Andrieu, qui m'ont appris la direction de chœur et fait connaître et aimer le chant choral et l'écriture pour chœur.

A toutes les maîtresses et les maîtres, professeurs des écoles, les CPEM, du Tarn et Garonne, en particulier Mme Buda, mes collègues musiciens intervenants, qui m'ont donné l'occasion, au travers des classes musiques départementales notamment, de composer des musiques, chansons et spectacles jeune public.

A tous les professeurs, acteurs, partenaires, équipes technique et administrative de la License professionnelle en Pratiques chorales et spectacle vivant du département musique de l'université du Mirail à Toulouse (aujourd'hui baptisée Jean-Jaurès) qui ont permis la composition et la réalisation de l'adaptation musicale d'une très belle ouvre littéraire de Daniel Danis, Le Pont de pierres et la peau d'images, réalisée en partenariat avec la Cie Nelson Dumont (Toulouse) et les élèves du collège Voltaire de Colomiers (opus 6).

A l'ENMD de Montauban, et à Jean-Marc Andrieu son directeur, à mes deux fils, Cyril et Johann qui y étaient élèves en percussions et piano, à Patricia Venissac leur professeur de percussions classiques, à Edmony Krater, professeur de percussions traditionnelles, à Bernard Laborde, pianiste accompagnateur et chef de chœur, à Myrto Debard, artiste peintre africaniste, ma grand-mère, qui ont motivé et permis la composition et sa réalisation d'une l'adaptation musicale pour chœur d'enfant, ensembles de percussions classiques et traditionnelle d'un conte africain (de Noël) de Myrto Debard, Le Lion et l'agneau (opus 7).

Aux professeurs de musicologie de l'université du Mirail, à Philippe Canguilhem, mon directeur de Mémoire, à Joseph Ver, pasteur, organiste et maître de chant à la faculté de théologie protestante de Montauban au début du XXe siècle, qui m'ont fait découvrir le répertoire florissant des psaumes huguenots, sur lesquels j'ai travaillé et composé un moment (opus 5 et 9 n°2).

A mes formateurs de IUFM de Toulouse, particulièrement à Emmanuel Pélaprat qui nous y enseignait l'écriture, mon professeur référent Jean-Louis Soulet, professeur d'éducation musicale au collège-Lycée barral à castres, puis à tous mes collègues et mes élèves de collèges et lycées qui, eux encore, m'ont permis d'exercer la composition musicale, auprès de chorales de jeunes notamment.

Au cinéaste Vladimir Kozlov qui m'a fait participer à trois de ses films documentaires et dont j'ai écrit la musique originale de deux long-métrages (opus 8 et 9).

A tous les artistes, chorégraphes, metteurs en scène, comédiens, artistes peintres, musiciens, qui ont suscité une occasion ou une autre de composer et qui sont trop nombreux pour tous les citer ici (opus 10 en plus d'autres déjà cités et non cités).

A l'Eglise orthodoxe qui m'a vu grandir, à Victoria Ivanovna ma grand-mère, au père Léonide (Chrol), pianiste, improvisateur et compositeur, à Tania Toutchkov, à Hélène Solnychkine, au père André Wade, qui m'ont initié au chant orthodoxe liturgique russe qui a inspiré quelques œuvres de musique vocale, liturgiques, religieuse et aussi une pièce de musique de chambre (opus 2, 9 n°1 et 11).

A la Sacem qui, comme chacun sait, "habite au 21".

Et à tous mes proches qui m'ont accompagné dans toutes ces aventures musicales, créatrices et artistiques.

Avec ma profonde reconnaissance,

Nicolas.

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